Les premières batteries électroniques apparaissent dans les années 70. Elles sont contraintes par les capacités technologiques de l’époque. Elles produisent des échantillons de son pauvres et peu nuancés. Elles ne peuvent prétendre rivaliser avec la richesse harmonique des batteries acoustiques. Leur usage se limite à un style musical bien spécifique.
A l’image du format mp3, l’explosion des capacités de traitement des microprocesseurs, comble progressivement le fossé qui sépare le son naturel de sa modélisation numérique; jusqu’aux limites de ce que l’oreille humaine peut discerner. Les synthétiseurs de sons de batterie proposent aujourd’hui des échantillons dont la richesse harmonique s’approche de leur équivalent analogique. Ces banques de sons, sont largement diffusées dans des modules ou des logiciels de home-studio qui permettent également d’en paramétrer la dynamique.
Pour que la batterie électronique puisse rivaliser avec la batterie acoustique, il ne lui restait donc plus qu’à proposer de bonnes solutions pour capter la dynamique du jeu du batteur. C’est devenu depuis quelques années, tout l’enjeu des toms de batterie électronique.
Pour y contribuer, les équipes de Recherche & Développement de Arbo-Tom ont mis au point des toms de batteries électroniques qui tirent parti des capacités de traitement du son de la plupart des modules et qui répondent aux exigences et aux contraintes des joueurs amateurs, comme à celles des professionnels.